SUD Etudiant Toulouse

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SUD Etudiant Toulouse : pour imposer nos droits !

SUD Étudiant Toulouse est la section locale de la Fédération des syndicats SUD Étudiant. SUD Étudiant Toulouse est présent sur la fac de sciences de Paul Sabatier (Rangueil) et la fac de sciences humaines du Mirail. Chaque section de fac se réunit toutes les semaines pour débattre, définir et mettre en place l'activité quotidienne et prévoir des évènements. Nous aidons les étudiant-e-s sur leurs problèmes d'aides sociales, notes, papiers, logements etc ...

Les sections de fac se réunissent tous les mois en Assemblée Générale de ville afin d'élaborer une activité commune au niveau de Toulouse, car c'est en frappant sur le même clou avec le même marteau que l'on est efficace. Des commissions se réunissent chaque semaine pour élaborer un matériel militant spécifique à notre activité : aides sociales, sans-papiers, crous/conseils, réformes. Des commissions peuvent être créer à l'occasion pour répondre à un besoin spécifique et temporaire.

Sans sectarisme, notre principale préoccupation est de travailler avec tous les individus et organisations progressistes pour imposer, par un rapport de force favorable, de meilleures conditions d'études et de vie étudiante. Nous participons et essayons d'impulser toutes les luttes sociales, ainsi que les projets alternatifs sur les facs.

Fil des billets

Jeudi 29 septembre 2011

Nouvelle licence : nouvelle casse de l'enseignement supérieur !!!

Jeudi 24 février 2011

Le 8 Mars approche !


Le 8 Mars est la jour­née inter­na­tio­nale des lut­tes des fem­mes.

Cha­que année, des fem­mes (d’asso­cia­tions, de grou­pes poli­ti­ques, indé­pen­dan­tes…) se réu­nis­sent pour orga­ni­ser des ini­tia­ti­ves visi­bles pour con­ti­nuer d’infor­mer autant les fem­mes que les hom­mes sur les oppres­sions des fem­mes, les oppres­sions de genre et de nor­mes sexuel­les.
Cette année, sont pré­vues une manif mixte l’après-midi, sui­vie d’une pro­jec­tion de film, et une manif de nuit non mixte.

Pour­quoi la manif de nuit NON MIXTE ?
Parce que les fem­mes doi­vent se réap­pro­prier la nuit et la rue, cel­les-ci n’appar­tien­nent pas aux hom­mes : ces­sons d’avoir peur !

Tous et tou­tes ensem­ble donc dans la rue le samedi 12 Mars, pour pro­tes­ter con­tre la domi­na­tion mas­cu­line, con­tre la norme hété­ro­sexuelle, con­tre tou­tes for­mes de vio­lence fai­tes aux fem­mes, con­tre l’exploi­ta­tion capi­ta­liste des fem­mes.

Les RDV :  - Manif’ mixte 14h (lieu à défi­nir)
                - Film “Mais qu’est-ce qu’elles veu­lent” 17h à la Bourse du Tra­vail
                - Manif’ de nuit non mixte 21h30 au métro Jean Jau­rès

Mercredi 2 juin 2010

Rassemblement le jeudi 24 Juin 2010 !


Retrait des plain­tes con­tre les 7 étu­diant-e-s inculpé-e-s de Tou­louse II le Mirail


Du 2 février au mois de juin 2009, un impor­tant mou­ve­ment notam­ment con­tre la loi LRU (Liber­tés et Res­pon­sa­bi­li­tés des Uni­ver­si­tés) a été mené par les per­son­nels ensei­gnants, cher­cheurs, Bia­toss et étu­diants des uni­ver­si­tés de France, dont Tou­louse II le Mirail.

Après des con­vo­ca­tions au com­mis­sa­riat au cours de l’été 2009, sur plainte de la pré­si­dence de l’uni­ver­sité Tou­louse II le Mirail, sept étu­diants ayant par­ti­cipé, parmi des mil­liers d’autres, à ce mou­ve­ment sont accu­sés de « vols » et de « dégra­da­tions ». Ils pas­sent en pro­cès le 24 juin 2010, et ris­quent de très lour­des pei­nes, pour ser­vir d’exem­ple.

Nous n’accep­tons pas qu’une uni­ver­sité, après avoir requis l’inter­ven­tion des for­ces de l’ordre à l’inté­rieur du cam­pus, pour­suive en jus­tice cer­tains de ses étu­diants, con­nus et iden­ti­fiés par leur enga­ge­ment mili­tant, pour des évè­ne­ments ayant eu lieu dans le cadre d’un mou­ve­ment social.

Nous exi­geons le retrait immé­diat et incon­di­tion­nel des plain­tes dépo­sées à l’encon­tre de ces étu­diants.

Nous appe­lons tou­tes les per­son­nes, orga­ni­sa­tions, par­tis et syn­di­cats à sou­te­nir ces étu­diants vic­ti­mes de la répres­sion.

Nous appe­lons à un ras­sem­ble­ment le 24 juin à 8h devant le Tri­bu­nal de Grande Ins­tance de Tou­louse pour témoi­gner de notre soli­da­rité.

SIGNA­TAI­RES : FSE, SUD-Etu­diant, SUD-Edu­ca­tion, AGEN, UNEF, Union Syn­di­cale Soli­daire, FSU 31, SNE­SUP FSU, SNA­SUB FSU, Fedé­ra­tion CNT Edu­ca­tion, UL CNT 31, FERC-SUP CGT, CGT Educ 31, CGT Jeu­nes, CGT E-Dal­kia, CGT Frees­cale, RUSF, La Guerre Tue, NPA, AL, PCOF, PCMF, JCML, JC, UEC, Coup pour Coup, VP-Par­ti­san.

Signez la péti­tion de soli­da­rité en ligne !

Vendredi 30 avril 2010

Appel unitaire national : la retraite une affaire de jeunes



http://www.retrai­tes-jeu­nes.net/

La retraite, une affaire de jeu­nes !


Le gou­ver­ne­ment s’est engagé dans une nou­velle réforme à mar­che for­cée du sys­tème de retrai­tes. « Je veux dire aux jeu­nes de 20 ans que c’est jus­te­ment pour eux que nous fai­sons cette réforme », affirme le minis­tre du tra­vail Eric Woerth. Nous ne som­mes pas dupes de cette hypo­cri­sie. Une nou­velle fois, ce qui est mis en place au nom des jeu­nes se fait sans eux, et sur­tout con­tre eux. En limi­tant le débat à l’accep­ta­tion pure et sim­ple d’un nou­vel allon­ge­ment de la durée de coti­sa­tion, le gou­ver­ne­ment adresse aux jeu­nes un mes­sage impli­cite, mais clair : la retraite ce n’est plus pour vous ! Jeu­nes en inser­tion, sala­riés ou étu­diants, c’est sur nous que repo­sera le finan­ce­ment du sys­tème de retraite dans les années à venir, et c’est nous qui subi­rons toute modi­fi­ca­tion du sys­tème actuel. Nous refu­sons d’être les grands oubliés d’un débat qui nous con­cerne !  

Jeu­nes, nous som­mes atta­chés au droit à une retraite à 60 ans finan­cée par répar­ti­tion 

Atta­chés à  la soli­da­rité entre les géné­ra­tions, nous sou­hai­tons finan­cer un sys­tème de retraite par répar­ti­tion de haut niveau qui garan­tisse un niveau de pen­sion per­met­tant de vivre plei­ne­ment le temps de la retraite. Nous refu­sons que la retraite par répar­ti­tion devienne un « filet de sécu­rité » a minima, insuf­fi­sant pour vivre. Nous refu­sons la logi­que d’une retraite basée sur la capi­ta­li­sa­tion indi­vi­duelle, inef­fi­cace éco­no­mi­que­ment et iné­ga­li­taire socia­le­ment. Nous dénon­çons la dou­ble peine que nous impo­se­rait un nou­vel allon­ge­ment de la durée de coti­sa­tion ou un recul de l’âge légal de départ en retraite: nous finan­çons les pen­sions d’aujourd’hui, nous refu­sons d’avoir à épar­gner en plus pour nos vieux jours dans des fonds de pen­sion qui peu­vent être rui­nés du jour au len­de­main !  

Un débat de société  esca­moté par une nou­velle opé­ra­tion comp­ta­ble 

Parce que la nature du sys­tème de retraite qui se met en place con­tri­bue à façon­ner la société de demain, nous refu­sons la volonté du gou­ver­ne­ment de réduire ce débat à une sim­ple équa­tion comp­ta­ble. En se limi­tant à jouer sur la durée de coti­sa­tion, le gou­ver­ne­ment s’atta­que direc­te­ment à la soli­da­rité sans abor­der les véri­ta­bles enjeux du sys­tème : garan­tie d’un taux de rem­pla­ce­ment, péni­bi­lité, allon­ge­ment de la durée d’étude et d’inser­tion, chô­mage, iné­ga­li­tés hom­mes – fem­mes (Aujourd’hui le temps par­tiel subi, la pré­ca­rité de l’emploi impac­tent for­te­ment la retraite des fem­mes.), répar­ti­tion du temps de tra­vail et des riches­ses.

En ins­tru­men­ta­li­sant les ana­ly­ses du COR (con­seil d’orien­ta­tion des retrai­tes) pour impo­ser l’allon­ge­ment de la durée de coti­sa­tion comme seule pers­pec­tive, le gou­ver­ne­ment élude la ques­tion cen­trale de la répar­ti­tion des riches­ses. Depuis 20 ans, la part de la richesse pro­duite attri­buée aux salai­res ne cesse de dimi­nuer au pro­fit du capi­tal.

Alors que notre pays n’a jamais été aussi riche, nous n’accep­tons pas qu’il soit demandé à la jeu­nesse de tra­vailler plus long­temps pour tou­cher une retraite moins impor­tante, con­dui­sant ainsi notre géné­ra­tion à vivre des con­di­tions de retrai­tes moins bon­nes que cel­les de nos parents ! Il n’est pas accep­ta­ble que l’allon­ge­ment de la durée de la vie soit syno­nyme de régres­sion sociale.   

Allon­ger la durée de coti­sa­tion ? Pour nous, c’est non ! 

Cela pri­ve­rait les jeu­nes du droit à une retraite à 60 ans à taux plein. Pour­quoi cet achar­ne­ment à recu­ler l’âge de départ en retraite quand le chô­mage des jeu­nes explose? L’aug­men­ta­tion des besoins de finan­ce­ment est une chance qu’il faut sai­sir. Nous refu­sons que le catas­tro­phisme ambiant serve d’argu­ment pour esqui­ver une nou­velle fois le débat sur la néces­saire aug­men­ta­tion des finan­ce­ments soli­dai­res des retrai­tes par répar­ti­tion : taxa­tion des stocks options et des reve­nus finan­ciers, sup­pres­sion du bou­clier fis­cal, élar­gis­se­ment de l’assiette des coti­sa­tions, sup­pres­sion d’exo­né­ra­tions de coti­sa­tions. Si de nou­vel­les res­sour­ces doi­vent être immé­dia­te­ment mobi­li­sées, une véri­ta­ble poli­ti­que de l’emploi et de reva­lo­ri­sa­tion sala­riale des­ti­née à lut­ter con­tre le chô­mage et la pré­ca­rité est éga­le­ment indis­pen­sa­ble pour appor­ter les recet­tes néces­sai­res à la péren­nité de notre sys­tème de retraite soli­daire.    

Le sys­tème de retrai­tes doit pren­dre en compte l’évo­lu­tion de la société !  

Nous récla­mons des réfor­mes qui garan­tis­sent nos droits sociaux, et nous sou­hai­tons faire évo­luer le sys­tème pour mieux pren­dre en compte l’évo­lu­tion de la société et péren­ni­ser le sys­tème par répar­ti­tion.

L’allon­ge­ment de la durée des étu­des et le recul de l’âge moyen d’entrée dans un emploi sta­ble (27 ans) con­dui­sent les jeu­nes à com­men­cer à coti­ser plus tard que par le passé. Nous exi­geons : 

• la vali­da­tion des années d’étu­des et de for­ma­tion dans le cal­cul des annui­tés ouvrant droit à la retraite, afin d’offrir à cha­que jeune la garan­tie de pou­voir étu­dier sans être inquiété par son ave­nir, même loin­tain ; 

• la vali­da­tion des pério­des de sta­ges, inté­grée dans une véri­ta­ble règle­men­ta­tion con­trai­gnante (rému­né­ra­tion à 50% du SMIC dès le pre­mier mois, recon­nais­sance et enca­dre­ment dans la for­ma­tion) ; 

• la vali­da­tion des pério­des d’inac­ti­vité for­cée, et la prise en compte la situa­tion des jeu­nes en situa­tion d’inser­tion pro­fes­sion­nelle pour qui l’enchaî­ne­ment de sta­ges, de CDD, d’emplois à temps par­tiel, de pério­des d’inté­rim ou de chô­mage con­dui­sent à accu­mu­ler des droits à retraite très incom­plets ; 

En igno­rant plus long­temps ces évo­lu­tions qui carac­té­ri­sent notre géné­ra­tion, le gou­ver­ne­ment refuse de garan­tir aux jeu­nes qu’ils pour­ront à leur tour béné­fi­cier d’une retraite soli­daire à de haut niveau !  

Les jeu­nes seront au ren­dez-vous du débat public pour affir­mer que la retraite est l’affaire de tous !  

Nous affir­mons notre volonté d’agir ensem­ble dans les pro­chains mois afin de défen­dre l’exi­gence d’un sys­tème de retrai­tes par répar­ti­tion fondé sur la soli­da­rité, qui garan­tisse à nos aînés comme aux géné­ra­tions futu­res une retraite de haut niveau à 60 ans. 

Les jeu­nes refu­sent d’être les grands oubliés du débat  qui s’ouvrent et exi­gent du gou­ver­ne­ment qu’il renonce à l’allon­ge­ment de la durée de coti­sa­tion. Nous deman­dons à être asso­ciés aux dis­cus­sions en cours.

Nous appe­lons à  la créa­tion de comi­tés jeu­nes locaux pour orga­ni­ser la cam­pa­gne au sein de la jeu­nesse. Nous appe­lons les jeu­nes à se sai­sir du débat sur les retrai­tes, à par­ti­ci­per aux ini­tia­ti­ves de mobi­li­sa­tion.   

Le gou­ver­ne­ment ne peut abor­der le débat sur les retrai­tes sans l’avis des géné­ra­tions direc­te­ment con­cer­nées par cet enjeu social majeur : les jeu­nes d’aujourd’hui ! 
 

Orga­ni­sa­tions signa­tai­res :  UNEF, UNL, FIDL, Sud Etu­diant, LMDE, CGT, FSU, UEC, Attac Cam­pus, JOC, Géné­ra­tion Pré­caire, MJS, MJCF, Jeu­nes Verts, JRG, Réseau jeu­nes du PG, NPA, Gau­che Uni­taire Jeu­nes, Bran­che jeune d’AL



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